J’étais en classe quand mon père a appelé moi. « Brandon est l’on qu’amènerai moi, oui ? » j’ai demandé. « Kacey, » il a dit, « Grand-père Phillips a tombé mort. » « Quoi ? » « Grand-mère a trouve il à ses lit. » « Quoi ? » j’ai répété. « Ce n’est pas vrai. Il ne peut pas vrai ! Il est sain, les docteurs ont dit nous qu’il est sain ! » Ma corps a commencé trembler, et j’ai pleuré comme je ne pleurais pas avant. Mes amis sont entouré moi, et les sont donné moi les étreintes. « Ça va, Kacey, ça va, » mon ami Robert à dit. « Il serait à ma mariage ! » j’ai crié. Robert à parle « il y sera. »
Aujourd’hui, il me manque, mais je ne pleure plus. Je pleure pour longtemps, mais pas plus. Est-ce que ça va ? Quelle type de pensée suit c’expérience ? Je pense que le poème « Demain, Dès L’Aube » dessine une bonne peinture de cet exemple.
Le poème commence avec le matin. « Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne. » (p. 119). Il me rappelle le choque première quand tu découvris un cher est mort. C’est le commencement du processus. Il n’y a pas espace pour un grande range d’émotions. Vous ne sentez rien ; vous regardez et vous écoutez. Vous ne savez pas quoi faire. Tout vous savez est que il n’est pas vrai.
Le deuxième stade de chagrin est colère. Si vous fâchez contre la personne, ou cette situation, vous serez colère. Je pense le poème saute cet émotion, et continue à le troisième stade : négocie. Victor Hugo négocie avec Dieu et sa fille pour l’occasion voir encore fois. « J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. » (p. 119). Victor Hugo supplie avec Dieu, sa fille, et avec nature. Son sentier, son travail, est un testament de son empressement faire quoi est nécessaire. Il veut la voire. Il a besoin voir.
Le quatrième stade est dépression. La deuxième strophe illustrait cette émotion parfaitement. « Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées [.] » Un symptôme de dépression est l’obsession avec vos pensées. Vous vivez en votre tête parce que le monde n’est pas quoi vous voulez. C’est un mécanisme de défense : dans votre monde, tout est sur votre control. Control est la chose qu’on a besoin pour garder son équilibre.
« Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit/ Seul, inconnu, le dos courbe, les mains croisées/ Triste, et le jour pour moie sera comme la nuit. » Dans cette strophe, on senti l’intensité de ce situation. Rien n’est important pour lui ; la seule chose qu’est important est elle. Son corps illustre la dépression avec « le dos courbe, les mains croisées. » (p. 119). Et il, encore, dessine une grande peinture pour nous quand il comparé ses émotions avec le jour.
Le final stade est acceptation. Dans la finale strophe, Victor Hugo accepte la perte de sa fille. Il accepte que la fille soit morte. « Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe/ Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. » (p. 119). Il prend action dans cette idée montrer son acceptation. MAIS, il y a un thème d’espérance. J’aime cette idée. Il sait et accepte qu’elle est mort, mais il a l’espérance qu’il la verra un jour. Le thème d’espérance est dans l’entier poème. « Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. » C’est un phrase d’espérance !
Le final stade est acceptation. Dans la finale strophe, Victor Hugo accepte la perte de sa fille. Il accepte que la fille soit morte. « Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe/ Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. » (p. 119). Il prend action dans cette idée montrer son acceptation. MAIS, il y a un thème d’espérance. J’aime cette idée. Il sait et accepte qu’elle est mort, mais il a l’espérance qu’il la verra un jour. Le thème d’espérance est dans l’entier poème. « Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. » C’est un phrase d’espérance !
J’écoutais quand mon père lis son histoire, j’ai su que je serrais avec mon grand-père un jour. J’ai accepté le fait qu’il était mort. Mais, ce n’était pas un mal chose ; il était une bonne chose parce qu’il vit dans la mon cœur et dans les éternités toujours. Ma grand-mère avait cette connaissance, et elle n’était pas triste : elle avait l’espérance. Je vive avec espérance.